L’activité d’achat-revente en immobilier est un autre type d’investissement privilégié par rapport à l’investissement locatif. De nombreux particuliers sont attirés par cette opération génératrice de grands revenus. Cependant, elle présente quelques contraintes et il est donc important de savoir comment procéder. Comment faire de l’achat-revente en immobilier ?
Présentation de l’opération d’achat-revente en immobilier
En immobilier, l’achat-revente représente l’acquisition d’un bien immobilier qui va être revendu. Le bien acheté est en effet vendu le plus rapidement possible dans le but de générer une plus-value. Cela suppose que des stratégies vont être adoptées pour réaliser le maximum de marge à la fin de l’opération.
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L’idéal est que les particuliers acquièrent le bien à un coût inférieur à sa valeur. Puis, ils vont le mettre en vente sur le marché à un prix plus grand, le tout sur une période réduite de quelques mois. Tel est le principe d’une opération d’achat-revente en immobilier, comme le précise cet avis.
Les avantages d’une opération d’achat-revente
Comme dit en amont, le but est d’engendrer rapidement une plus-value. Le principal avantage de l’opération est qu’elle permet d’obtenir suffisamment de profits sur une courte durée. En outre, les biens peuvent être des appartements ; des maisons ou des immeubles.
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Dans le cadre d’un investissement locatif par exemple, le gain se fait sur la durée. En contrepartie, un marchand de biens devra plus s’investir pour son projet et prendre plus de risques. Retenez que ce type d’opération immobilière est peu courant chez les particuliers et convient beaucoup plus aux investisseurs aguerris. Le nombre de projets d’achat-revente en immobilier influence le statut, auprès de l’administration fiscale.
Les statuts juridiques pour une opération d’achat-revente
L’activité du marchand de biens n’est pas spécialement réservée aux professionnels de l’immobilier. Pour profiter des avantages liés au statut de marchand de biens, des démarches sont requises. Il faut une inscription au registre du commerce et des sociétés. De cette façon, le marchand de biens peut réaliser des projets d’acquisition et rénover ainsi que revendre le bien immobilier sans risque. Cela dit, plusieurs statuts sont possibles.
La société commerciale
Concrètement, le statut de société commerciale est très prisé du marchand de biens. Il existe plusieurs types de sociétés commerciales telles que la SAS ou SARL, SASU ou EURL. Les personnes qui désirent exercer seules, optent pour une EURL ou une SASU.
Puis celles qui souhaitent s’associer avec d’autres acteurs optent pour une SARL ou une SAS. Par ailleurs, la loi ne requiert aucun capital social minimum, et mieux la responsabilité de l’entrepreneur est limitée à son apport. Il s’agit d’une protection pour son patrimoine personnel. Ces statuts sont ceux les plus prisés par les marchands de biens activistes.
La société civile immobilière et le statut d’auto-entrepreneur
Le statut d’auto-entrepreneur et la société civile immobilière (SCI) ne s’accordent pas pour l’activité du marchand de biens. La SCI a tout d’abord un objet purement civil, c’est-à-dire qu’elle ne doit pas réaliser de bénéfices. Cela est donc contraire à l’activité du marchand de biens qui est commerciale. Il cherche ensuite à faire du profit. Enfin, le statut d’auto-entrepreneur est incompatible avec l’exercice de cette profession.